
J’aimerais poser là ma main
Qu’elle pèse un peu sur les choses mais à peine
Qu’elle les réduise à petits feux
Qu’à la fin tout de même
Dans les pâturages discrets de l’ennui
Ne demeurent
Qu’une pelote de rides
La peau réduite par les coupeurs de tête
De la forêt de Malvoisie